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 JAY ꜛ can't deny ꜜ

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MessageSujet: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMar 1 Nov 2011 - 16:47

Milson, Jayden Samuel

Before the Worst.
surnom(s): jay' origines: irlandaises date et lieu de naissance: 03 mars 1984 à Waterford profession/études: professeur de psycho statut: célibataire quelques adjectifs: charmeur - mystérieux - loyal - colérique - secret - lunatique inquiétude face à s.: 4/10. groupe: fresh winter avatar: robert pattinson crédits: alles & tumblr


→ I love details.


× Dans la lune, je suis toujours dans la lune. C'est impressionnant de voir à quel point je peux être absent certaines fois. La conversation peut me passionner, être celle de ma vie, peu importe, je serais totalement ailleurs. C'est franchement chiant certaines fois !

× Comment? J'ai parfaitement compris ce que la personne en face de moi m'a dit, mais par habitude de ne rien capter je demande de répéter et finalement ça m'énerve d'entendre la personne répéter deux fois la même chose et je finis complètement blasé. C'est totalement con mais j'y peux rien, c'est une sorte de tic.

× Il me faut ma dose de caféine dans la journée sinon je deviens fou. Si je ne fais rien alors je bois un café, ça me donne l'impression de faire quelque chose d'intéressant parce que me donne la pêche. Mes sept-huit cafés, il faut que je me les siffle sinon je me sens oppressé. Drogué à la caféine, c'est la meilleure!

× J'ai beaucoup de vices, notamment celui du tabac. Je fume comme pas permis, c'est affolant! Il me faut mon paquet par jour et ça j'ai jamais tenté d'y remédier, j'aime la clope voire même le joint certaines fois. Ça me fait du mal mais je m'en fous.

× Mes mains sont de vraies chaudières. Oui, tout le monde est toujours en train de se plaindre qu'il a froid aux mains, et bien moi non. Elles sont toujours bouillantes, pas moites mais terriblement chaudes. A croire que j'ai le diable au corps !

× Lors d'une fête trop arrosée j'avais eu la bonne idée de me faire percer le sexe et les tétons. Mon dieu! Quelle dégaine j'avais ensuite! Une fois sobre, je les avais tout de suite enlevés, mais la trace est resté un moment.

× Ne soyez pas fous, ne me mettez pas face à une mignonne boule de poils. Je suis vraiment gaga lorsque je suis devant un chat, un vrai gamin voire un mec à qui il manque une case. C'est affreux!

× Comme beaucoup d'hommes sur cette planète j'ai la fâcheuse habitude de souvent être en train de me caresser le ventre. C'est une habitude étrange et qui me fait paraître con le plus souvent, mais c'est comme un tic.

× Être pieds nus m'horrifie alors chez moi, j'ai de magnifiques chaussons dont ma sœur se moque. J'ai l'air très con quand je les porte, certes, mais au moins j'y suis à l'aise et au chaud. Un jour il faudra que j'investisse dans des tongs, ou quelque chose de moins vieillot car il est certain qu'emballer une fille avec une telle paire de chaussons, c'est vraiment foutu.

× L'hygiène n'est pas une de mes propriétés, je l'admets. Alors il m'arrive de rester trois ou quatre jours sans me doucher. Enfin c'est plus par manque de temps que par flemme de me laver, mais je ne suis pas un gros maniaque concernant mon hygiène personnelle, et je ne suis pas tellement maniaque lorsqu'il s'agit de mon appartement non plus, au contraire même!


→ Everbody his story.
L'homme naît pour vivre puis mourir. C'est un éternel recommencent, nous sommes tels des pions sur un échiquier. L'existence est-elle absurde? Sans doute, mais à qui peut-on reprocher de vouloir vivre? De vouloir naître? Et de ne surtout pas vouloir mourir? Personne. Malheureusement la vie est un long cheminement vers la mort, une ascendance perpétuelle. L'homme détruit la planète, mais construit sa vie, fera de son cœur un cœur pur ou sans âme. Il semble maître de son destin, maître du jeu, pourtant il n'est qu'un fou, bientôt il deviendra roi, mais jamais il ne sera le meneur. Absolument jamais, personne. C'est en voulant construire leur vie qu'un jeune couple irlandais souhaita avoir des enfants, un cocon familial agréable. Mais l'on ne fait pas toujours ce que l'on souhaite dans la vie.



CHAPITRE I
"Le sommeil de l'enfance s'achève en oubli."
La grande maison est plongée dans le noir. L'hiver est froid, le vent souffle au dehors mais la grande bâtisse fait le poids, le vitrage permet à ses habitants de ne pas se soucier de cette tempête. A Waterford, ces grosses rafales de vent, ces grosses perles de pluie sont monnaie courante alors plus personne ne s'en soucie. Tout le monde dort à poings fermés, excepté la petite Lila Milson. Du haut de ses cinq ans, elle n'arrive pas à dormir, son petit frère pleure et ses parents ne semblent pas l'entendre. Alors elle se lève et va dans la chambre du petit. Trop petite pour l'atteindre, elle prend une petite chaise qu'elle trouve, monte dessus et tente de prendre le bambin au visage rougit et aux larmes débordantes. Seulement, elle n'y arrive pas et voilà qu'elle tombe. Sa nuque se cogne contre les barreaux du lit, que la chaise se renverse et qu'elle tombe la tête la première par terre. Le bébé pleure de plus belle, et les parents réveillés par le fracas accourent dans la chambre. Ils trouvent leur fille, là, allongée à terre, sa tête gisant dans son propre sang. Ce spectacle leur semble absurde, invraisemblable, c'est un cauchemar, ils vont se réveiller sans tarder. Le père s'approche de sa fille, la mère court vers le combiné.

Les urgences arrivent, leur gyrophare brille dans la nuit sombre. Lila est morte. Les médecins n'avaient pas à ouvrir la bouche, les parents le savaient déjà, ils l'avaient senti. C'était comme une partie d'eux-même qu'on avait arrachés dès l'instant où ils l'avaient vue étalée à terre. Jayden ne souffrira pas réellement de cette absence car il n'aura jamais vraiment connu sa sœur, trop petit qu'il était. Il souffrira seulement du poids que cette absence impliquait pour ses parents. Cette souffrance déchirerait la famille, déchirerait le couple pourtant tant aimé et adulé qu'ils étaient auparavant: rencontrés au lycée, ça n'avait pas été le coup de foudre. Il était le lycéen un peu trop coincé, bien trop centré sur ses études alors qu'elle ne pensait qu'aux garçons et aux sorties. Elle n'était pas sérieuse, c'est certain mais il y avait eu cette aide au devoir dont elle avait eu besoin et pour laquelle il avait répondu présent. A partir de ce moment-là, il était tombé raide dingue de cette jeune blonde aux courbes parfaites et elle de ce brun bien trop timide et aux muscles cachés sous ses vêtements sans forme. Aujourd'hui, il est un avocat puissant, aux centaines d'affaires réussies, sans ombre au tableau et elle médecin sans frontière au grand cœur, aux missions humanitaires multiples et aux absences répétées. Seulement, la mort de Lila fait qu'elle partira d'autant plus souvent, qu'elle voudra s'évader davantage de cette maison blanche qui l'oppresse, qui l'angoisse et lui rappelle sa fille perdue. Lorsqu'elle rentre à la maison, elle fait comme si de rien n'était, comme si rien ne s'était passé mais une fois le soleil couché, une fois que Jayden recommence à pleurer dans son petit lit, elle pleure à son tour, s'enferme dans les toilettes, les oreilles bouchées par ses mains.

Il est certain que ce tragique accident fera que Jayden ne grandira pas dans un climat serein. Ses parents seront toujours inquiets, quoi qu'il fera, quoi qu'il dira, quoi qu'il voudra, ils seront derrière lui, à l'affût de la moindre blessure. Il sera surprotégé, il étouffera sous ce trop plein d'amour et sous ce sentiment de culpabilité qui le ronge. Il sera condescendant avec ses camarades, égocentrique. Mais au fond, il ne trouve pas sa place: il se sent de trop partout où il passe, comme une boule au ventre qui le prend violemment. Il n'a même pas dix ans que pourtant déjà, il se sent hors norme. Alors ses parents l'emmènent voir un psychologue. Il ne se dévoile pas au début, il ne dit rien, il se contente de regarder dans le vide. « Jayden ... Jayden regarde-moi et parle-moi, dis-moi ce que tu ressens. » Au bout de plusieurs séances, enfin il se dévoila. « J'crois que mes parents m'en veulent, qu'ils se disent que j'ai pris la place de Lila, mais eux c'est elle qu'ils veulent parce que j'sais pas, j'suis pas à la hauteur. Elle, elle faisait de la gymnastique, elle était toujours calme et prête à faire des photos de famille. Moi non. J'ai pas d'amis, j'aime personne, j'suis à part, j'suis différent. » Les yeux rivés sur la plante verte trônant dans le coin du bureau, il s'imaginait ce que serait son futur: un homme froid, sans scrupule, seul et loin de ses parents. Cette vision le faisait culpabiliser, seulement il ne savait pas comment se sortir de cette parade, de cette carapace qu'il s'était forgé. Mais voilà le déclic: voilà que sa mère porte de nouveau un enfant. Une petite fille semble-t-il. C'est difficile pour les parents, mais il semble que ce soit l'occasion pour un nouveau départ. Maëlys décident-ils de l'appeler. Elle est née alors que Jayden n'avait que six ans. Leurs parents font en sorte qu'il n'approche pas le lit de sa petite sœur, que le drame ne se répète pas. Même si leurs parents tentent de s'occuper tant bien que mal de Maëlys, il est certain que leur mère a du mal à faire face. Jayden s'aperçoit que sa petite sœur est mise sur le bas côté par sa mère, comme si elle ne voulait pas de ce nouvel enfant, comme si elle le reniait. Alors il la prend sous son aile, la couve et s'occupe d'elle comme un véritable grand frère.

Le coffre plein à craquer, les voilà qui partent à deux heures de route de chez eux, histoire de s'aérer un peu la tête. Plus au Sud de l'Irlande, voilà que Bantry vient les accueillir à bras ouverts. Tout avait été planifié pour que tout se déroule à merveille. L'immense maison qu'ils avaient choisis n'en était plus une mais un manoir. Celle qu'ils avaient auparavant étaient d'une blancheur épatante, d'une luminosité parfaite alors que celle-ci était sombre et quasiment oppressante. Mais ils s'y plairaient, ils en étaient certains.


Je ne suis pas encore pubert. Ce sentiment de culpabilité s'est envolé en même temps que cette impression d'inhumanité et ce grâce à Maëlys. J'essaie de m'intégrer, de m'insérer dans cette foule de gens et je dois dire que je ne m'en sors pas trop mal, même si je ressens un malaise dès que je parle à quelqu'un, même si j'ai peur de mal faire à chaque fois. Je veux bien faire, je veux que mes parents soient fiers de moi, sans pour autant suivre le chemin qu'ils m'ont déjà tracés.



Ce nouveau départ amène Jayden à voir la vie d'une nouvelle manière. Du haut de ses onze ans, il est déjà mûre même si pas du tout autonome car surprotégé. Il est devenu un petit garçon comme les autres et ce grâce à sa sœur. Il le sait, il l'en remercie et s'occupe d'elle. Il la couve et lui donne tout l'amour qu'il a. C'est d'ailleurs fou de voir la relation qui les lie. Elle est d'une intensité à en faire pâlir plus d'un et plus ils sont ensembles, mieux ils se portent. Après tout, avec des parents pris comme les leurs, Jayden n'avait pas le choix que de veiller sur ce petit bout de chou.



CHAPITRE II
"L'adolescent est l'être qui blâme, qui s'indigne, qui méprise."
L'adolescence est un cap à passer. Un cap durant lequel les émotions sont accrues, où tout semble plus grave, où tout n'est que question de changements tant physique que comportementaux. C'est un cap où l'on se sent tellement beau, fort, puissant mais où les excès de sébum et les refus des parents nous forcent à redescendre sur terre quelques minutes avant de voler à nouveau.

C'est également le passage au secondaire. C'est le début du travail acharné, des devoirs interminables et des prises de tête. Mais finalement Jayden est heureux de ce passage au secondaire, de cette tornade qui se prépare car il le sait: sans études il ne serait rien. Il serait simplement Jayden Samuel Milson, jeune garçon sans but ni avenir. Il se sent invincible en cette rentrée mais c'était sans compter sur ces idiots qu'il considèrerait comme ses amis. Jayden est intelligent, il a des capacités. Dès le premier trimestre ça se sait, et il serait idiot de ne pas en profiter. Alors, les rapaces se ruent sur lui, font semblant de sympathiser avec lui, écoutent d'une oreille ses problèmes puis lui demandent ses exercices et tout ce qui va avec.
Un jour, il en marre, il refuse. Il se prend un coup de pied dans le ventre. Il cède. A ce jour, il comprend qu'il n'est qu'un stupide objet pour eux, qu'un cerveau qui leur servira à ne pas doubler leurs classes. Alors, il ne leur parle plus, se contente de leur faire leurs exercices et leurs devoirs maisons. S'il a le malheur de se tromper, de leur faire avoir une mauvaise note, il se prend des coups. Ce sont des enfoirés de première catégorie, des enfants pourris gâtés qui se prennent pour des Dieux alors qu'ils ne sont rien, qu'ils valent beaucoup moins que Jayden. Certes, lui aussi est pourri gâté mais il se donne les moyens pour réussir, sans avoir à tricher ou à frapper.

J'ai perdu la joie de vivre que j'avais réussi à acquérir ses dernières années. C'est comme si tous ces efforts n'avaient servi à rien, comme si la malchance me poursuivait sans répits. C'est seulement lorsque je suis avec Maëlys que je me sens apaisé, comme libéré du poids qui me pèse en dehors. J'en ai marre d'être le bouc émissaire, ce n'est pas pour moi. J'en deviens agressif et méfiant. Je veux sortir de cette torpeur.


« Qu'est-ce que vous faites?! Mais arrêtez, vous êtes fous! » Les jeunes garçons partent en courant alors que Jayden se tient le ventre de douleur et que son nez saigne. La jeune brune ayant fait partir ses détracteurs s'approche de lui, s'armant d'un mouchoir pour nettoyer tout ce sang coulant de son nez. Elle lui demande si ça va, il se braque. Elle veut seulement l'aider mais il ne veut pas de son aide, ce doit être un piège pense-t-il. Après avoir tenté de montrer sa bonne foi, elle s'en va, déçue de son comportement. Peut-être méritait-il ce châtiment finalement. Jayden se mord les doigts de n'avoir su prendre la main qu'on lui tendait. Alors il lui court après, s'excuse et sourit. Sauf que ça lui fait mal alors il fait une grimace affreuse qui fait rire Joyce. C'est ainsi qu'elle s'appelle, Joyce McKenzie. Son prénom lui va si bien. Ses fossettes creusent ses joues dès qu'elle sourit, ses yeux s'illuminent à la fois. Son visage est magique pour Jayden, comme un feu d'artifice. Un peu trop ronde mais avec des étincelles dans les yeux, voilà comment il la voit. Leurs vies font néanmoins en sorte qu'ils ne peuvent se parler souvent. Jayden se fait d'autres amis, elle a déjà les siens. Et ils s'oublient quasiment. Ils se sourient, se disent bonjour mais ça ne va pas plus. Jayden ne pense pas aux filles, pas encore du moins. Jusqu'à ce qu'il y goûte. A quatorze ans, voilà qu'une fille légèrement plus âgée que lui, tombe sous le charme de ses cheveux ébouriffés et de son air paumé. Il cède, sort avec elle, pour voir ce que ça fait que d'avoir une copine. Il est tactile mais pas amoureux. Certes, il s'est attaché mais son cœur ne bat pas la chamade dès qu'il la voit. Il se lasse d'elle, la laisse sur le bas côté. Seulement, être seul, il n'aime plus trop ça. Il l'a déjà trop été, alors voilà qu'une jeune fille passe et qu'il la séduit. Voilà qu'il est devenu l'un de ces coureurs de jupons, antipathiques. Étrange qu'il ait tant de succès, enfin pas tant que ça lorsque l'on voit la gueule d'ange qu'il a. Respectueux des filles qui l'entourent, jamais il n'oserait les toucher de trop près, jamais il n'oserait les forcer à aller un peu plus. Et il n'est pas sûr d'en avoir vraiment envie lui-même. Un jour qu'une amie à lui fête son anniversaire, il y voit Joyce. Il ne peut s'empêcher de sourire et si les autres font des activités pour s'amuser, eux restent assis l'un à côté de l'autre à se parler, innocemment. Ils s'apprécient, c'est certain mais jamais ils ne s'avoueraient qu'ils se veulent l'un l'autre. En réalité, cette amie qu'ils ont en commun est la meilleure amie de Joyce. Alors il est certain que Jayden se servira de ce lien étroit qui les unis.

Jayden apprend à jouer de la guitare. Il s'en sort divinement bien, et c'est pourquoi il fait à présent parti d'un groupe. Il ne connait que l'un de ses membres, les autres ne sont que des connaissances. Ils s'apprécient tous mais ces garçons aiment la débauche, ils aiment la picole. Joyce rejoint leur groupe, elle y chante. Jayden en est doucement chamboulé, mais lorsqu'il voit qu'elle n'en a rien faire de lui, qu'elle ne lui parle quasiment pas et qu'elle préfère chercher ces garçons plus âgés, il abandonne. Il comprend qu'elle s'en moque de lui, qu'il n'est qu'un ami, sans plus. Elle n'est pas tellement fréquentable en fait : elle boit beaucoup trop. Au début, il se met sur le bas côté, il ne préfère pas faire comme eux, puis il en a marre de ne pas vraiment s'intégrer alors il s'y met aussi et le jour où il finit allongé dans son propre vomis il se dit qu'il ne recommencera plus. Mais il recommence quand même: ça l'amuse. Ils s'amusent tous ensemble et lorsqu'il rentre chez lui, il fait comme si de rien n'était. Il va voir Maëlys dans sa chambre, lui dire bonne nuit. « Aaah ! Mais qu'est-ce que t'as foutu de ta soirée? Tu pues l'alcool à dix kilomètres ! » « Raconte pas n'importe quoi ! Bonne nuit p'tite soeur. » C'est vrai qu'il pue l'alcool à des kilomètres, alors heureusement que ses parents ne sont pas là. Le lendemain matin, il a la bouche pâteuse, en rit. C'est comme ça qu'il a décidé de s'amuser. Lorsqu'il y pense, il ne saurait pas comment s'amuser sans alcool, après tout c'est ce qui les mets dans des états pas possibles et les font faire les cons. Joyce quitte le groupe: trop de travail. Tant pis, un autre gars la remplace et le groupe redémarre comme en quarante. Jayden & elle ne se voient quasiment plus mais il s'en moque, il s'amuse avec d'autres. Il n'en devient pas complètement stone, non, il continue à suivre parfaitement les cours mais chaque week-end il sort. Entre les sorties en boîte, les tournées de bar, il se dit qu'il est heureux que ses parents soient aussi riches.
Un soir de premier de l'an, il invite Joyce et sa meilleure amie à faire la fête avec eux. Elles acceptent. A ce moment, Jayden a une copine mais comme il l'a si bien dit « Ce soir, je suis célibataire! ». En invitant Joyce, il a une idée derrière la tête. Légèrement éméchés tous les deux, ils finissent dans les bras l'un de l'autre, s'embrasent, se touchent mais ne couchent pas ensemble. Elle dort dans la maison d'à côté cette nuit. Et le lendemain matin, elle fait la bise à tout le monde, y compris à lui. Pas un regard, ni un sourire, rien. Elle part quelques instants plus tard sans lui dire au revoir. Jayden lui envoie un message, finit par un cœur. Ils parlent sur internet, et il comprend que pour elle, ils ne sont pas ensemble, et ils ne le seront jamais. Il tente quand même, ils parlent des heures et des heures durant des mois. Puis il se lasse, il en a marre de courir après un courant d'air. Il ressort avec sa copine de l'époque parce que pour lui, avoir une copine c'est quasiment une obligation. Avec Joyce, ils ne se reparlent quasiment plus. Lorsqu'ils se voient, ils se cherchent du regard, se sourient et passent du temps ensemble à se taquiner. Qui les voient, comprend qu'il y a quelque chose qui les lient, sauf eux. Mais Jayden se moque de cette situation: il s'amuse mais rien de plus. Alors, il enchaine les copines avant de tomber sur celle qui arrive à faire battre son cœur de nouveau. D'origine française, il reste des mois avec elle mais malgré qu'elle puisse faire battre son cœur, dès lors qu'il voit Joyce, il ne peut s'empêcher de tromper sa petite française avec elle. Il est pris, elle s'en moque, elle le veut pour elle. Elle est revenue sur ses positions et pense l'aimer. Seulement voit, à trop jouer avec le feu on fini par se bruler. « Merde arrêtez! Écoutes Justin, je suis désolée d'accord? Mais laisse-le, il a rien fait, c'est moi! ... Et puis je te dois rien merde, on est pas ensemble ! » Quelle idée avait-elle eu lorsqu'elle avait invité Justin, qui les pensait ensemble même si elle avait été clair et Jayden en même temps. Elle n'avait su résister, et avait été dans ses bras. Même si Jayden s'était retenu au début, il n'avait pas tenu bien longtemps et elle finissait sur ses genoux, en train de s'amuser à croquer des chips entre les lèvres de l'autre tandis que Justin était à côté, les larmes aux yeux, et qu'il finissait à taper contre les murs et à pleurer. Jayden riait, mais au fond il était gêné de cette situation, d'être l'enfoiré de première. Puis il était parti comme il était venu car s'il était resté plus longtemps il finissait en sang.
La tournée des bars avec Joyce et un autre ami, ce n'était pas une bonne idée non plus, ils finissaient main dans la main, lèvres contre lèvres. Ce n'était pas comme d'habitude: ce n'était pas une tension sexuelle qu'il y avait entre eux deux mais comme un début de romance. Alors Jayden avait été effrayé et était parti. Il sentait qu'il l'aimait bien plus qu'il n'aimait sa française mais il refoulait cet amour car il pensait que Joyce ne faisait que jouer et qu'il ne pouvait se permettre de faire ça, être un enfoiré. Alors, il arrête tout: lorsqu'elle lui envoie un message parce qu'elle en a marre d'être prise pour une conne, parce qu'elle l'aime, il lui dit qu'il regrette tout, qu'il n'aurait pas fait tout ça s'il n'avait pas bu, qu'il fallait qu'ils arrêtent de se voir. Ça lui fait mal de lui dire ça mais il sait qu'eux deux ça me mènerait à rien, qu'ils ne feraient rien à part se faire souffrir l'un l'autre, à part se tromper sans arrêt et s'énerver.

Je t'aime comme je n'ai jamais aimé une autre fille et ce pour la bonne raison que je n'ai aimé que toi. C'est idiot de souffrir l'un et l'autre d'une situation que l'on pourrait changer. C'est idiot de s'aimer ainsi. C'est idiot d'être destructeur l'un pour l'autre. C'est idiot, oui mais putain que c'est bon d'aimer. Mon cœur dépend du tien, et il le détruit à petit feu. Et je crois que j'aime ça. Ouais, j'adore ça, j'en plane même. Abîme-moi aussi bien que tu m'aimes.


Ils ne se voient plus, ne se parlent plus. Il serait con de se revoir pour craquer de nouveau. Jayden reste avec sa française, qu'il prend pour une conne. Que tout le monde prend pour une conne car finalement tout le monde sait à quel point les cornes qu'elle a sur la tête sont gigantesques, sauf elle. C'est fou de voir à quel point Jayden peut être paradoxal: s'il n'aime pas faire souffrir les autres, il ne cesse néanmoins pas de le faire. Il est jeune et con, il ne se rend pas compte de ses erreurs, mais en grandissant, en murissant, il prend conscience de ce qu'il a fait les mois précédents, les années précédentes et il évite de refaire les mêmes erreurs car tout ceci était d'une stupidité maladive. Il s'est amusé, a profité, certes. Mais c'était au détriment des autres, au détriment de ceux qu'il aimait. Finalement, il n'a pas su s'adresser aux bonnes personnes au bon moment: si deux filles l'aimaient en même temps, s'il lui était possible de les couvrir d'amour et de les chérir, il n'en avait rien fait. Il les avaient fait souffrir, et ce schéma se répétait. Tourner le dos aux mauvaises personnes, il était le roi en la matière.



CHAPITRE I
"Un adulte n'est qu'un enfant qui a commencé a pourrir."
Malgré toutes ces tâches qui viennent tâcher ce si beau tableau, Jayden sait rester dans le droit chemin. Tous ces problèmes dans son enfance, toutes ces séances chez le psychologue l'ont fait réaliser que cette étude du comportement humain, ce décryptage et cette façon de résoudre les problèmes des autres était ce qui lui plaisait. Certes, il ne saurait pas rester écouter des personnes et les conseiller toute une journée mais il était certain qu'il saurait transmettre ses savoirs, faire apprécier cette discipline à ses élèves. Il se sentait à la hauteur pour ça, il y arriverait. Alors, il entame ses études et se démerde pas mal du tout. Il est même assez bon dans ce qu'il entreprend. Il travaille pour réussir mais n'oublie néanmoins pas de s'amuser: chaque semaine il fait au moins une soirée où il finit complètement saoul mais sans faire autant d'excès que lors de son adolescence. Il s'est calmé, a tiré des leçons de ses nombreuses erreurs.

S'il a coupé les ponts avec ses parents par ras-le-bol qu'on lui rappelle qu'il avait un père vraiment génial pour les affaires ... et sympa en prime, il n'en a pas oublié sa petite sœur. Ayant son appartement, elle n'hésite pas à se ramener dès que l'occasion se présente, juste « histoire de te prendre en flag de grosse beuverie avec des potes travelos et des junkys carrément pas fréquentable.» Ça coule de source après tout. Elle aussi est une sacrée, mais pas autant que son frère, il est là pour la cadrer et éviter qu'elle ne fasse pas n'importe quoi ou ne traine avec n'importe qui. D'ailleurs, il préfère éviter qu'elle ne traîne avec ses propres potes, aux intentions un peu trop foireuses selon lui.

Je crois bien que Maëlys va partir en sucette, un peu comme moi à son âge. J'ai pas envie qu'elle fasse ça, je veux la préserver de tous ces vices, car peut-être qu'elle n'aura pas ce déclic qui la fera retourner dans le droit chemin. Je ne peux pas l'empêcher de vivre, mais je veux l'empêcher d'avoir envie de crever par amour.


Sa vie d'adulte est bien moins emplie de vices que sa vie d'adolescent, mais elle est emplie de choses plus pures, de choses plus posées. Et finalement, il n'est pas mécontent de se poser un peu, de souffler. Seulement, ses études lui font péter les plombs certaines fois: il fout tout en l'air de colère puis range comme un con ensuite. Il s'énerve à une vitesse fulgurante alors il a investi dans un sac de frappe histoire de se défouler lorsqu'il sent qu'il va exploser.

Ses études se terminent enfin. Il obtient son diplôme haut la main et voilà qu'il commence à travailler. Le trac, la panique de ne pas savoir si les élèves vont ou non apprécier sa manière d'enseigner. « Bonjour, je suis Mr Milson, votre nouveau professeur de psycho, Mme Halfway ayant pris sa retraite. Bien, commençons. Cette année nous verrons... » Finalement tout ce passe bien et il semble que son père lui est transmis le don de passionner les gens lorsqu'il parle, ou bien son physique entre-t-il en ligne de compte. Peu importe, il est heureux de voir que tout se passe aussi bien, il sait transmettre sa passion pour la psychologie. Il n'est pas difficile de voir à quel point il aime le sujet dont il parle. Bien sûr, la première année est laborieuse puisqu'il lui faut faire tous ces cours, même si certaines fois il y va au feeling mais tout est construit, tout est structuré et compréhensible. Il n'est pas du genre à rabaisser les étudiants qui se trouvent devant lui, au contraire, il rie avec eux, préfère se la jouer cool plutôt que trop strict. Le voilà qui est muté à Cork. Merde alors, toute sa vie est ici. Que pourra-t-il bien faire là-bas, tout seul? Il en parle à Maëlys, et elle décide de venir avec lui, heureuse de cette nouvelle aventure qui se présente à elle. Direction Cork dans ce cas. Ils s'y installent tous les deux, dans un grand appartement qui leur plait. S'ils se croisent seulement en journée, ils font le maximum pour être ensemble le soir venu. Maëlys fait sa vie de son côté, Jayden également et voilà qu'elle devient la meilleure amie d'une dénommée Siobhàn et si, généralement, il ne préfère pas se mélanger aux amis étranges de sa sœur, là c'est différent. Elle est différente, elle l'attire et visiblement lui aussi vu comme elle tente de la séduire une fois saoule. Cette situation l'amuse sur le coup et en parfait gentleman qu'il est devenu, par respect pour sa sœur également, il la repousse et la raccompagne en tout bien tout honneur. Seulement, lorsqu'il la voit le lendemain, assise là alors qu'il débute son cours, il percute. Merde, être charmé par une élève, c'est stupide mais surtout interdit. Seulement, il ne peut s'empêcher de dire oui lorsqu'elle l'invite à sortir avec Maëlys. Bien qu'il essaie de lutter, c'est toujours vainement. Ils se rapprochent dangereusement, sortent bien trop souvent tous les trois pour qu'il ne s'attache pas à elle. C'est fait, voilà qu'il s'attache un peu trop. S'il serait plus raisonnable de s'éloigner d'elle un temps, il n'en a pas la moindre envie.

Je ne suis pas du genre à m'attacher, je n'aime pas ça, ça me rend trop vulnérable. Seulement, quand ça arrive, je ne peux pas lutter. Et là, je ne tente même pas de lutter, je glisse dans un puits sans fond. J'aime sa façon d'être, sa façon qu'elle a de tenter de me séduire discrètement lorsqu'elle est un peu ivre. Si je n'étais pas si résistant à l'alcool, alors je ne lui saurais pas résistant non plus, j'aurais cédé depuis déjà un bon moment. Mais je suis un adulte à présent et je m'assume comme tel alors, certes, je ne la repousse pas, certes mes phrases sont certaines fois à double sens, mais je ne saurais entrer dans une relation qui ne mènerait à rien car interdite.


Cette nouvelle vie à Cork lui plait, les gens qu'il y a rencontré lui plaisent aussi. Bref, sa vie lui plait et toutes les rancœurs passées, tous ces regrets enfouis dans le passé s'étaient envolés. Finalement, il s'était fait sa thérapie lui-même ces dernières années, et il ne s'en était pas si mal sorti que ça après tout ...


→ behind the screen.
PSEUDO/PRÉNOM ▬ SMOOTH/ Marine ÂGE/TRANCHE D'ÂGE ▬ 17 ans PRÉSENCE ▬ 5/7jrs LIGNES/MOTS EN RP ▬ minimum 30 lignes DÉCOUVERTE DU FORUM ▬ Par partenariat DOUBLE-COMPTE ▬ Nop INVENTÉ/ SCENARIO ▬ Scénario AVEZ VOUS ENVOYÉ VOTRE SECRET ▬ Ok by SUTTON



Dernière édition par Jayden S. Milson le Lun 7 Nov 2011 - 21:35, édité 28 fois
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMar 1 Nov 2011 - 16:51

Bienvenue parmi nous JAY ꜛ can't deny ꜜ 1408284189
J'en connais une qui va être contente JAY ꜛ can't deny ꜜ 2781649424

Si tu as la moindre question surtout n'hésite pas !
Courage pour ta fiche JAY ꜛ can't deny ꜜ 1839924927
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMar 1 Nov 2011 - 17:18

BIENVENUE JAY ꜛ can't deny ꜜ 1532001046
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P. Siobhàn Hokkings
P. Siobhàn Hokkings
ADMIN. SHIV' i am broken.

pseudo : backseat messages : 193 avatar : kristen fucking stewart crédits : flickering light - tumblr² inscrit depuis le : 06/10/2011
âge : vingt et un ans occupation : étudiante en psychologie statut : amoureuse
JAY ꜛ can't deny ꜜ Tumblr_lv15mghIvb1qe0m9jo1_500
→ i'll never let you leave me
i feel so untouched and I want you so much that I just can't resist you it's not enough to say that I miss you i feel so untouched right now need you so much somehow i can't forget you been going crazy from the moment I met you.

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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMar 1 Nov 2011 - 23:40

BIIIIIIEVENUUUE !

ravie que tu es choisi mon scénario Exited si tu as la moindre question n'hésite surtout pas ooooh JAY ꜛ can't deny ꜜ 2113965524 JAY ꜛ can't deny ꜜ 1408284189 JAY ꜛ can't deny ꜜ 1532001046
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H. Kriss Carter
H. Kriss Carter
ADMIN. true colors who i am?

pseudo : knight. messages : 107 avatar : Henry Cavill. crédits : Shyia inscrit depuis le : 16/10/2011
âge : 25 ans. occupation : Avocat et sapeur pompier volontaire. statut : célibataire.
« A l’amour, à la vie. Au soleil et aux filles. Je veux lever mon verre, allez, viens voir mon frère. C’est pas que le paradis n’a pas tout pour nous plaire. Mais j’ai plus chaud en enfer, entouré de mes amis. »

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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMer 2 Nov 2011 - 0:32

    PATTINSON JAY ꜛ can't deny ꜜ 1408284189
    Bienvenue et bonne merde pour ta fiche. Rocks !
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMer 2 Nov 2011 - 16:34

    MERCI VOUS TOUS ! JAY ꜛ can't deny ꜜ 2486224328

    Vous avez tous des avatars qui rocks ! ooooh
    J'avance ma fiche dès que j'aurais réussi à me dépatouiller de ma masse de travail (a)
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyLun 7 Nov 2011 - 22:32

Tout est bon pour moi JAY ꜛ can't deny ꜜ 1408284189
Ta fiche est très bien écrite j'aime beaucoup JAY ꜛ can't deny ꜜ 3656991821
J'ai donc le plaisir de te valider JAY ꜛ can't deny ꜜ 2113965524

Tu peux maintenant te lancer dans l'aventure, créer ta fiche de liens, de Rps etc ...
Et aussi n'oublie pas de voter toutes les deux heures pour le forum JAY ꜛ can't deny ꜜ 1839924927

JAY ꜛ can't deny ꜜ Btwbouton1
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ EmptyMar 8 Nov 2011 - 17:53

    MERCI BEAUCOUP ! Exited

    Je voterais dès que j'y penserais (a)
    Je vais de ce pas faire tous mes sujets et tout et tout ...
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MessageSujet: Re: JAY ꜛ can't deny ꜜ   JAY ꜛ can't deny ꜜ Empty

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