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 HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law

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MessageSujet: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyMar 18 Oct 2011 - 20:21

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hunter & sutton


07h30 — Je me réveillais en sursaut ce matin. Mes yeux grands ouverts, la sonnerie d'alarme de mon réveil venait de me faire manquer la fin de mon rêve si merveilleux, pour venir à me ramener bien vite à une réalité bien plus terrifiante. Je n'avais que très peu dormi cette nuit que déjà il fallait que je me lève afin de commencer une nouvelle semaine de cours. La nuit avait été courte et pour cause j'avais fait la fête une bonne partie de la nuit, jusqu'au petit matin devrais-je même dire, je ne pouvais m'en prendre ainsi qu'à moi même. Enfin bref tout ça pour vous dire que ce matin ce n'était pas la grande forme. Restant encore quelques minutes blottit sous mes draps, je luttais intérieurement pour me lever car je ne pouvais pas risquer de me faire virer en loupant un nouveau jour de cours. Grimaçant à cette idée, je m'étirais de tout mon être le long de mon lit avant de poser les pieds sur le sol de ma chambre. Encore un peu alcoolisée de la veille, je ressentais un léger mal de crâne tout en me dirigeant vers ma cuisine. Là j'attrapais un grand verre que je remplissais d'eau avant de prendre dans un tiroir un cachet pour le mal de tête et de l'avaler d'un trait. Cherchant ensuite à me rassasier j'ouvrais le frigo devant lequel je restais sans vie durant de longues minutes avant de le refermer sans même y avoir attraper quelque chose, pour finalement opter pour un simple café serré qui aurait le don de me redonner un petit coup de pêche, du moins c'est ce que j'espérais. Je mis ainsi en marche la machine à expresso, pour ensuite venir à me diriger vers la salle de bain. Là, je laissais tomber le seul vêtement que je portais en me réveillant, à savoir une robe de nuit, pour venir à me glisser sous la douche. Les jets ruisselants maintenant sur mon corps, je fermais les yeux quelques instants, profitant de cette sensation agréable. C'est seulement vingt longues bonnes minutes plus tard que j'en ressortais, mon corps entouré d'une simple serviette. De retour dans la cuisine je posais mon regard sur l'horloge qui affichait déjà huit heures, dans une heure je devais être à l'université, prête à affronter une longue journée … et si je ne voulais pas être en retard valait mieux que je prenne les choses en main tout de suite. Buvant ainsi d'une traite le café que j'avais précédemment préparé, je filais à toute allure dans ma chambre où le moment fatidique de ma journée aller se déroulait. En effet, il fallait que je choisisse ma tenue, ce qui ne s'avérait pas forcément évident. Regardant par la fenêtre, j'apercevais que déjà le soleil était au rendez-vous, de quoi me donner le sourire. Cherchant alors la tenue idéal, je laissais tomber plusieurs vêtements sur mon lit avant de finalement opté pour une tenue simple mais efficace. Un petit short en jean qui laissait une jolie vue sur mon fessier et mes jambes fines et musclées, un débardeur de couleur crème avec un petit décolletée et une mini veste en jean histoire de rester tendance. Aux pieds j'enfilais une paire de spartiates à la mode. Fin prête, je filais nouveau dans la salle de bain où je venais à sécher mes cheveux, avant même de les lisser. Jetant un dernier coup d'oeil dans le miroir de la salle d'eau, je m'envoyais un clin d'oeil admiratif, satisfaite de mon image. Il était maintenant huit heure trente et avec un peu de chance je pourrais éviter les embouteillages et être à l'heure, tout en m'arrêtant prendre un café au Starbucks du coin. Ni une ni deux je quittais ainsi mon domicile laissant derrière moi un bazar assez important ...


★ ★ ★

La matinée avait été longue, très longue même. Et même si j'avais apprécié mes premières heures de cours, je m'étais par la suite terriblement ennuyée lorsque nous étions venus à étudier un sujet que je connaissais déjà sur le bout des doigts. Enfin bref, une matinée de cours banale, comme les autres, sans grand bien intérêt. Rien de bien palpitant qui avait eu le don de me donner le sourire. Par chance la suite de ma journée s'annonçait dès plus divertissante. En effet, cette après-midi je devais me rendre au bureau d'avocat où j'étais actuellement stagiaire et outre l'attrait pour la pratique du métier, ce qui m'attirait d'autant plus dans cette démarche, c'était le jeu qui se déroulait entre moi et mon tuteur, à savoir Hunter S. Breymer, l'avocat le plus réputé du pays. Même si nos débuts avaient été difficile, même si au départ je ne pensais pas obtenir ce poste de stagiaire, j'avais finalement comme à mon habitude réussit à le faire changer d'avis et à ainsi m'accorder ma chance. Certes pour cela je dû jouer de mon physique et de mes capacités de comédienne, mais je n'avais rien à perdre ici, alors pourquoi ne pas jouer ? Cela faisait donc maintenant un peu plus de deux semaines, que toutes les après-midi après ma matinée de cours théorique, je filais rejoindre le centre ville où se trouvait le cabinet d'avocat de mon tuteur, avec toujours cette excitation quand au déroulement de ma journée. Depuis le début il y avait eu ce feeling, ce sentiment agréable qui s'était emparé de nous deux. Certes l'aspect professionnel était de rigueur, mais au delà de ça était venu s'installer un jeu de séduction non négligeable et je dois avouer que ce n'était pas pour me déplaire. D'autant plus que maître Hunter s'avérait être un homme fort charmant, un charme indéniable, savant mélange de virilité et maturité parfaitement accordée. Je n'étais donc pas insensible à son sex appeal et c'était bien là le problème, comment rester de marbre face à un apollon du genre. Impossible, c'est pourquoi dès le moment où il commença à lancer le jeu, je ne m'étais pas faite priée pour y entrer, les deux pieds en avant. C'est donc toujours aussi motivée et enjouée que j'arrivais face à cet édifice impressionnant où se trouvait son bureau. Montant les marches menant au cabinet, j'en profitais pour faire un arrêt aux toilettes histoire de paraître la plus présentable possible. Fin prête et satisfaite de mon image, je sortais des commodités et entrais dans on bureau, où sa secrétaire qui semblait ne pas trop m'appréciait se hâta de m'adresser la parole sur un ton froid et malsain. « Monsieur Breymer n'est pas dans son bureau, vous devriez l'attendre ici ... au risque de l'énerver » Faisant une légère moue en l'entendant me parler, je ne prenais même pas le temps de lui répondre et entrée directement dans le bureau du célèbre avocat. Profitant de son absence je m'asseyais sur sa chaise, face à son bureau et tout en me mettant à mon aise, je commençais à enrouler une mèche de mes cheveux autour de mon doigt, comme j'en avais pris la fâcheuse habitude depuis plusieurs années maintenant.



Dernière édition par Sutton L. Whitehorse le Mar 18 Oct 2011 - 21:33, édité 2 fois
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H. Kriss Carter
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ADMIN. true colors who i am?

pseudo : knight. messages : 107 avatar : Henry Cavill. crédits : Shyia inscrit depuis le : 16/10/2011
âge : 25 ans. occupation : Avocat et sapeur pompier volontaire. statut : célibataire.
« A l’amour, à la vie. Au soleil et aux filles. Je veux lever mon verre, allez, viens voir mon frère. C’est pas que le paradis n’a pas tout pour nous plaire. Mais j’ai plus chaud en enfer, entouré de mes amis. »

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyMar 18 Oct 2011 - 21:08

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« Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté. »


SUTTON & HUNTER

J'ai du mal à me souvenir. Mais je sais que là, tout de suite, j'ai un sacré mal de crâne. Aucunes idées de l'endroit où je suis. Quel jour sommes-nous et surtout, où suis-je ? « Salut ! Tu veux un café ? C'était une nuit de folie ! » Je l'ai fixé quelques minutes, sans bouger. Elle a déposé le café sur la table de nuit et elle est partie prendre sa douche. Elle devait sûrement se dire qu'elle était tombé sur un fou. Je ne connais pas son nom, mais ça ne me dérange pas. Je suis sûrement chez elle et on doit être quelque chose comme ... Mardi ! Ou lundi. Peu m'importe, en fait. J'ai vite bu ce café et j'ai rejoins mon énième conquête dans sa douche. Elle comprit de suite qu'elle n'avait pas besoin e dire un mot, qu'il fallait se contenter de laisser les évènements aller; les détails passeront par dessus. Bref, j'allais partir quand la jolie blonde m'appela. « Est-ce qu'on se reverra ? » Je lui fit non d'un simple signe de tête, déposa un bisou sur sa joue et m'en alla pour une réunion importante. Ce n'est pas que je suis pressé ... J'ai juste 17 minutes, exactement, de retard. A la base, je ne peux pas me le permettre. On fera bien une exception aujourd'hui. Comme à mon habitude, je fis une entrée peu discrète. Après un signe de main à tout le monde, je me suis assis et j'ai écouté. Encore et encore ... C'était interminable. Et enfin, ce fut mon tour de parler. Je me retrouvais dans mon élément; je savais ce qu'il fallait dire, comment le dire et comment convaincre tout le monde. « Je finirai par ... » Ma conclusion était tellement pourrie que je préfère même plus y penser.

Ce fut une agréable matinée qui se passa assez rapidement. J'ai dû, par contre, rattrapé tout le boulot qui s'est accumulé avec mon retard. Dit comme ça, ça n'a pas l'air de grand chose et pourtant. De la paperasse et des dossiers à choisir. La justice, il faut faire en sorte qu'elle arrive; il est impossible de la faire venir comme ça, à n'importe quel moment. On pourrait même se demander si elle existe encore, sur cette terre. J'ai pris ma pause déjeuné vers 13h30. J'ai pris mon temps, comme d'habitude. Je me suis rendu compte que j'étais assez contradictoire, comme garçon. Je n'arrête pas de me plaindre car j'ai trop de boulot. En attendant, je ne suis jamais à l'heure et je prends mon temps. Ma réputation est encore présente. C'est donc que je peux diriger ma vie entièrement, comme je veux et ça alors que je n'ai que 25 ans. Je suis entré à l'université de cambridge assez jeune, j'ai acquis de nouvelles bases et j'ai appris les joies de la vie avec l'alcool. Bon, mon ancienne vie ... Elle appartient au passé.

Une cigarette en moins dans mon paquet, je pris l’ascenseur de sorte à rapidement arriver en haut. Cette après-midi, j'ai en stage une toute jeune et belle brune, Sutton. notre relation est ce qu'on peut appeler de très particulière. Je ne prend jamais de risques avec les étudiants; je préfère des gens comme moi, de préférences avec qui le feeling passe. Avec elle, il passait. Mais j'avais une espèce de blocage au début. Oui, je l'avoue. Elle m'attirait et elle m'attire encore, énormément. Parfois, mon professionnalisme s'en perd. Je lui lâche quelques compliments, quelques vannes et la pousse parfois à bout. En fait, une espèce de jeu a commencer. Le chat et la souris, non ? Dès mes premiers pas dans le cercle, les siens se sont vite ajoutés. Sutton était une fille à caractère. Et j'aimais ça, particulièrement. Bref, j'arrive enfin à l'étage quand je vois la tête de ma secrétaire ... On en lit long sur son visage, c'est marrant. Je rentre dans mon bureau, m'attendant à voir Sutton. J'espère que je fus assez discret pour ne pas qu'elle m'entende. Elle était confortablement installé sur ma chaise, dos à moi. J'ai étouffé un petit rire. « Je l'ai acheté à une vieille dame en ville. Si tu le trouve si bien, je crois qu'elle en a encore un ou deux. » Je crois que j'ai dû lui faire peur, elle se retourna d'un coup. « Mais c'est que tu es bien belle aujourd'hui. D'habitude, mes rêves sont plus érotiques, sensuels ... » Je me suis approché du bureau et elle se leva immédiatement. Dès qu'elle fut assez proche, je la stoppa net. J'ai rapproché mon visage près du sien, comme si j'allais l'embrasser. L'idée était intéressante, mais trop facile. Je n'aime pas la facilité. Je suis resté quelques minutes sans bouger, elle aussi; on entendait plus que notre respiration ... Et la petite mouche. Jenny, ma secrétaire entra d'un seul coup. De quoi nous faire sursauter tous les deux. Pour éviter les problèmes, j'ai vite rattrapé la situation. « Dépêchons-nous ! On a plein de boulot pour aujourd'hui. »



Dernière édition par Hunter S. Breymer le Dim 23 Oct 2011 - 22:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyDim 23 Oct 2011 - 15:20




hunter & sutton

Je n'étais pas le genre de filles à respecter les règles, depuis aussi loin que je m'en rappelais, j'avais toujours été un peu anarchiste sur les bords même si le mot est un peu fort pour me désigner, l'idée elle en était bien proche. C'est donc parfois cocasse que de penser que dans la finalité des choses je me destine à devenir une avocate prête à défendre des clients plus ou moins innocents. Quoi qu'après réflexion l'idée de devoir tout faire pour prouver l'innocence d'un individu peut aussi paraître comme une forme d'anarchie envers le destin, enfin bref, tout ça pour vous faire comprendre que je ne suis pas le genre de filles qui se laisse marcher sur les pieds, bien au contraire je n'ai pas ma langue dans ma poche et c'est ainsi que les gens me connaissent, me craignent et me respectent.

C'est ainsi, en entrant dans le bureau de maître Breymer, l'avocat pour laquelle j'étais devenue la stagiaire depuis maintenant deux semaines, je n'avais pas porter la moindre attention à sa secrétaire qui semblait hautaine, froide et jalouse depuis mon arrivée dans le cabinet. Dès le premier jour où elle m'avait vu entrer dans le bureau bien décidée à obtenir mon stage, elle avait tout mis en œuvre pour essayer de faire pencher le non du côté de son patron, à savoir mon tuteur de stage, le sexy et séduisant Hunter S. Breymer, l'avocat le plus connu du pays. Par chance et par logique j'avais obtenu finalement le poste de stagiaire pour mon plus grand plaisir. C'est donc comme tous les après-midi depuis deux semaines maintenant que j'arrivais dans ce cabinet parfaitement bien situé dans le centre ville, bien décidée à prouver à cet homme à la réputation prétentieuse et hautaine que je pouvais être aussi bonne, voir meilleure que lui et qu'ainsi en me choisissant comme stagiaire il avait fait le bon choix. De mon côté je n'en doutais pas, personne n'était mieux placée que moi pour occuper ce poste. J'étais la personne parfaite. Être avocate demande certaines qualités, notamment la confiance en soi, l'intelligence, la ruse et la capacité à se sortir de toutes situations, qualités que je maniais depuis des années à la perfection, ce n'est pas pour rien que je suis la fille la plus populaire de l'université. Enfin bref, tout ça pour dire que ce stage correspond parfaitement à ma personne. Assise dans le siège de mon tuteur sans craintes, ni gênes quand à une arrivée imminente de sa part, je restais là silencieuse et immobile profitant du calme ambiant, jusqu'au moment ou une voix grave et si séduisante vint à me sortir de mes rêves. Faisant mine d'être surprise pour mieux le dompter, je mimais un léger sursaut et me tourner vers lui. L'entendant parler, j'esquissais un sourire en coin avant de rapidement lui rétorquais sur un ton enjoué quelques mots. « Je suis sûre qu'avec ton blabla de vendeur de tapis, tu as même réussi à l'arnaquer cette pauvre femme … » Me levant par la suite, venant à lui faire face, je le laissais s'approcher de moi, restant immobile et inerte face à lui. Voilà alors que le jeu auquel nous jouions depuis notre rencontre débuta à nouveau, lorsqu'il s'approcha encore plus près, tellement près que je pouvais maintenant sentir son souffle se poser au creux de mon cou, sensation qui avait le don de me faire un effet incontrôlable. Fermant les yeux quelques instants, je respirais un bon coup puis les ouvraient à nouveau avant de me lancer dans ce jeu si plaisant à jouer. « Je suis au dessus de tout ça moi, tes rêves ne sont rien comparé à ce que je peux faire … tu joues dans la cour des grands avec moi, finis les rêves d'ados pré-pubères … » A fond dans mon rôle, je mordais ma lèvre supérieur de manière sensuel, avant que Jenny, l'assistante de mon sexy tuteur débarque dans son bureau et vienne tout gâcher. Lançant un regard noir à cette dernière, je reculais de quelques pas tout en secouant la tête, quand soudain pour enfoncer le clou sur elle, je me retournais et lui lançait sur un ton hautain et narquois de quoi lui rendre la monnaie de sa pièce. « Et rien ne vaut un excellent café pour un travail parfait, Jenny tu pourrais aller chercher deux grands mocha blanc au Starbucks au bout de la rue ? tu sais à quel point monsieur Breymer raffole de ce café là … » Et voilà comment lui faire comprendre qu'elle n'était pas plus utile que ça ici dans ces lieux et surtout que c'était peine perdue que de penser qu'elle aurait la moindre chance avec lui, surtout en ma présence. La regardant quitter finalement le bureau sans un mot, je riais légèrement avant de me retourner vers Hunter. « Sur quelle affaire allons nous travailler aujourd'hui ? le divorce de riches clients ? sur le crime d'un petit fils de bonne famille ? ou bien sur l'adultère d'un homme avec une belle et jeune femme brune incendiaire … du genre qui me ressemble ? » Le fixant du regard, je vins à m'approcher à nouveau de lui et sans hésiter une seule seconde, je me permis de lui refaire le noeud de sa cravate tout en ne le quittant pas du regard. « Un homme de ton envergure se doit d'avoir un noeud de cravate digne de son nom, tu ne voudrais pas qu'on te prenne pour ce genre d'avocat bon marché non ? » Le noeud terminé, je laissais ma main glisser sur son torse avant de la passer dans mes cheveux, un sourire mesquin dessinait sur mes lèvres.

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H. Kriss Carter
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pseudo : knight. messages : 107 avatar : Henry Cavill. crédits : Shyia inscrit depuis le : 16/10/2011
âge : 25 ans. occupation : Avocat et sapeur pompier volontaire. statut : célibataire.
« A l’amour, à la vie. Au soleil et aux filles. Je veux lever mon verre, allez, viens voir mon frère. C’est pas que le paradis n’a pas tout pour nous plaire. Mais j’ai plus chaud en enfer, entouré de mes amis. »

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyDim 23 Oct 2011 - 16:25

sutton & hunter.


Tiens, elle est arrivée au bon moment celle là. Je ne sais pas si je dois lui sauter dessus en la remerciant où si je dois la virer pour être entrée sans frapper alors que j'étais avec quelqu'un dans mon bureau. Mais depuis le début, j'ai remarqué que la bonne entente entre les deux filles n'est pas au beau fixe. Question de jalousie peut-être ? Parce que ça pourrait devenir drôle. Je ne sais même plus pourquoi j'ai engagé Jenny. Elle est efficace, c'est tout. Pour le reste, j'en voudrais plus. Si on voit ce que je veux dire.

Sa réponse m'a surpris. Je n'avais plus l'habitude d'entendre un discours comme tel d'une telle bouche. C'était de la provocation, dure et pure. J'aurais pu lui répondre quelque chose comme « Tu n'a pas envie de me montrer ça ? De suite. Parce que tu parle beaucoup mais tu agis moins. » Mais je ne craquerai pas le premier, c'est certain. Je veux que ce soit elle qui admette qu'elle est attirée par mon beau physique. Sutton est trop fière, c'est pour cela que c'est devenu un vrai défi. J'aime les défis, surtout quand ils nous mêlent tous les deux. Bref, Jenny était là, sans bouger. Je croyais pourtant que quand on entrait quelque part, ce n'était pas sans raisons. Bien sûr, j'avais la seule secrétaire qui le faisait. Quelle chance ! « Et rien ne vaut un excellent café pour un travail parfait, Jenny tu pourrais aller chercher deux grands mocha blanc au Starbucks au bout de la rue ? tu sais à quel point monsieur Breymer raffole de ce café là … » Elle prend les commandes et en ce moment même, j'avoue être un peu ailleurs. C'est seulement à la fin de la phrase que j'ai compris qu'il fallait que je dise quelque chose. J'ai simplement acquiescé, je n'étais pas contre un petit café. Jenny partit si rapidement, vexée, qu'elle fut comme un éclair dans ce bureau.

J'ai regarder les quelques dossiers présents sur mon bureau. Il y en avait un tas mais chacun est daté. Le seul problème, c'est que je ne les vois pas, ces dates. J'en prends trois d'un coup et je les regarde attentivement. Mon choix est fait. J'avais envie de me plonger dans le travail et d'oublier la présence d'un canon pareil dans mon bureau. « Alors ... On doit attaquer un mec qui a tuer ses frères à cause d'un héritage; il y aurait du racisme dans l'histoire, il n'avait pas la même mère que les autres. Un petit fils de bourge, comme tu dis, est assassiné près d'un parcours de golf et une veuve noir jetterait son dévolu sur des vieux qui ont la soixantaine. Ah oui ! Il y a une femme qui attaque son mari en justice parce qu'il se tape sa stagiaire en plein boulot, presque tous les jours. » J'ai inventé la dernière affaire; jamais une plainte est aussi précise dans mes dossiers. Elle le sait, j'en suis sûr. Il ne manque plus que sa réponse pour qu'on puisse rire aujourd'hui.

Je n'ai rien entendu et j'ai même cru mourir lorsqu'elle s'est approchée de moi. « Un homme de ton envergure se doit d'avoir un noeud de cravate digne de son nom, tu ne voudrais pas qu'on te prenne pour ce genre d'avocat bon marché non ? » Elle refit mon nœud de cravate, elle ne me quittais pas du regard. Mon cœur bat tellement vite qu'on pourrait croire à une crise cardiaque. Pile à ce moment, il était impossible de nier cette attirance que j'avais pour elle. C'est contre mes principes, mais je n'ai aucun contrôle sur mes sentiments ou mes envies. Je n'avais qu'une envie, lui arracher ses vêtements. NON ! Ressaisis toi, redeviens toi. Cette homme froid qui n'a besoin de personne. Reste la personne que tu as décidé de créer. Parce qu'au fond, ce n'est pas pour rien si elle existe.

C'est alors que j'ai fondu quand sa main a glissé sur mon torse. Je n'ai rien fait, c'est jurer. Mais dans ma tête, toutes sortes de scénarios défilait. Ensuite, sa main atterrit dans ses cheveux pour finir avec un sourire mesquin qu'elle avait jusqu'au bout des lèvres. Je l'aurais tuer, tuer de me tenter autant. Je suis rentré dans son jeu, son jeu très très dangereux. J'ai parfois peur de ne pas avoir assez d'armes. De plus, c'est assez dur de le cacher, quand tu as du mal. « Mon Dieu ! Qu'il fait chaud dans ce bureau. » Je ne pus m'empêcher de sourire. Je sais, je n'aurais pas dû. J'ai enlevé la veste de mon costume qui coûte, quand on y pense, un peu cher à mon goût et j'ai retroussé les manches de ma chemise. Je n'avais pas envie que Sutton me face la tête parce que j'ai défait son nœud. J'en avais peur et ce n'était pas spécialement drôle. Peur de son physique, de son caractère. Mais j'ai surtout peur de ce que je peux faire et ressentir. Aimer, ce n'est pas ma tasse de thé.

Bref, j'ai enlevé trois boutons de ma chemise. Tout en laissant le nœud. Ça me donnait un style du genre cheap and dales et c'était fun. Mais on peut dire qu'un peu d'air n'a jamais fait autant de bien. D'un signe de tête, je lui dit de s'asseoir. Je lui ai tendu un dossier; elle est la première à faire un commentaire sur les affaires. De cette façon, je vois ce qu'elle pense et je peux la former pour qu'elle devienne ... Comme moi, en fait. Ça fait peur, non ?

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyLun 24 Oct 2011 - 20:55




hunter & sutton

Le jeu a toujours fait partie intégrante de ma vie et aujourd'hui plus que jamais, j'en suis devenue une véritable accroc. Plus jeune j'ai commencé à développer cet acte de manipulation pour au départ me protéger des aprioris des autres, mais par la suite c'est devenu une véritable addiction qui m'a permise de me libérer de plusieurs situations plus ou moins délicate. Premièrement le jeu, m'a permis de faire croire à mes parents que leur divorce ne m'atteignait pas plus que ça, ça m'a permis de faire croire à ma psychologue que je ne refoulais aucun sentiments ou encore cela m'a permis de surmonter plusieurs épreuves difficiles dans ma vie. Enfin bref tout ça pour en venir au point que le jeu fait depuis plusieurs années maintenant partis de ma vie et je dois avouer que je suis plutôt douée … je suis devenue une véritable as du jeu, même le meilleur bluffer de poker ne pourrait pas se mesurer à moi, si si vraiment je vous assure.

La preuve est là, aujourd'hui encore voilà que je me mets à jouer encore et encore. Mon dernier jeu en date et non des moindres puisqu'il s'agit de mon préféré ces temps-ci, celui de jouer la carte de la provocation, de la séduction subtil mais tout aussi efficace face à mon tuteur de stage, j'ai nommé le célèbre et surtout sexy avocat Hunter S. Breymer. Oui je m'attaque là à une pointure, puisqu'il est connu et reconnu pour être le meilleur avocat du pays et qui dit avocat dit capable de vous faire entendre tout ce dont il voudra. Mais rien ne me fait peur c'est bien connu, depuis mon arrivée ici à Cork, tout le monde connait Sutton Leah Whitehorse pour être la fille la plus populaire, la plus appréciée, la plus envoyée, mais aussi la plus crainte. Certains même au départ, à la mort de Samantha on insinué que j'étais étroitement lié à cette affaire, car d'après leurs dires, j'aurai eu peur qu'elle me vole la vedette. Enfin bref, des rumeurs infondées simplement colportées pour essayer de me nuire encore et encore et une fois de plus mon jeu de manipulation, de rôles en tout genre m'a permis de me sortir de ce gouffre. Aujourd'hui par chance le jeu auquel je m'amusais à jouer était d'autant plus agréable. Séduire, charmer et provoquer un homme tel que mon tuteur de stage, cet homme ténébreux au charme indéniable et envoûtant était là une attraction toute particulière. Depuis que j'étais rentré dans son bureau je n'avais pas réussi à faire disparaître de ma tête ce sentiment si intense qui était venu s'emparer de moi lorsque nos regards s'étaient croisés. C'était désormais comme si nous étions deux aimants attirés l'un par l'autre. C'est ainsi qu'une fois de plus en ce lundi après-midi que je jouais mon rôle de jeune femme mystérieuse et provocatrice à merveille. Seule dans le bureau avec mon tuteur de stage, j'avais entamais la phase séduction sans même me poser la moindre question, après tout j'arrivais toujours à me sortir des histoires, alors pourquoi ici cela en viendrait à changer. Surtout quand on sait que nous les femmes nous avons un pouvoir incroyable sur les hommes. Ils se disent de sexe fort, mais en réalité nous sommes bel et bien celles qui ont le pouvoir dans tout ça. Un simple regard, de simples mots, une caresse, un baiser et voilà que les hommes sont à nos pieds. D'ailleurs la situation actuelle en était belle et bien la preuve puisque le célèbre avocat réputé dans tout le pays semblait soudain moins perspicace qu'à son habitude. « Agir est synonyme de faiblesse, dans certains cas vaut mieux attendre plutôt que d'agir stupidement … » et voilà qu'une fois de plus je lui montrais qu'avec moi cela ne serait pas une partie de plaisir et qu'il n'obtiendrait pas aussi facilement qu'à son habitude ce qu'il désirait réellement. Continuant ainsi à jouer, une fois sa secrétaire dans la pièce j'avais rapidement pris les choses en main et montrait qu'une fois de plus j'étais parfaitement apte à jouer mon rôle mieux que personne. D'ailleurs je ne tardais pas à prouver davantage ma supériorité quand lorsqu'une fois la blonde exilait, me retrouvant seule de nouveau avec mon sexy tuteur je passais à la vitesse supérieur en m'approchant dangereusement de lui quitte à poser mes mains sur son corps qui je l'avais déjà depuis longtemps devinait et surtout remarquait semblé très bien dessiné. « Le dernier cas est une évidence quasi certaine, vous les hommes vous êtes trop faibles face à nous les femmes, surtout lorsque l'on a une idée en tête … plus rien ne peut ensuite nous arrêter … Si la stagiaire avait décidé qu'elle finirait par coucher avec son patron, alors il n'avait aucune chance de pouvoir s'en sortir … excepté s'il s'avérait être de l'autre bord … » Nouveau sourire en coin, je laissais échapper ma main jusqu'à présent posé sur le torse bombé du beau brun avant de rire légèrement en le voyant soudain plus perturbé que je ne l'avais encore jamais vu. La tentation était donc maintenant le maître mot de la situation, je venais d'enclencher la première étape et ce n'était d'un début ! C'est alors ainsi que je le regardais entrer dans mon jeu sans même prendre de précautions, à ses risques et périls. En effet, voilà qu'il avouait non bien subtilement que je ne le laissais pas si indifférent que ça, ce pour quoi je n'avais pas douté bien entendu. Après tout il était dur de résister à une plante comme moi, car sans vouloir me lancer des fleurs, une brune ténébreuse, mystérieuse et intelligente cela ne coure pas les rues … du moins à ce que je sache. Le regardant alors déboutonner peu à peu sa chemise, laissant ainsi apparaître ce fameux torse musclé et sexy, je ne pus m'empêcher inconsciemment de mordre ma lèvre supérieur de façon sensuelle, qui traduisait tout l'attrait que je ressentais pour lui à ce moment là. Après tout qu'elle stagiaire qui se respecte n'a jamais fantasmé sur son tuteur de stage … je vous l'accorde la plupart du temps ils s'avèrent être pas très agréable à regarder, mais là au contraire il n'en était que plus exquis. Un véritable dieu vivant, un homme mâture et sexy à souhait qui pourrait coucher avec une grande partie des femmes normalement constituées. Essayant d'échapper à mes pensées pas très catholiques, je secouais légèrement ma tête, en profitant pour remettre mes cheveux en place, avant de prendre place sur le fauteuil situé en face de son bureau où il m'avait fait signer de m'asseoir. Croisant mes longues jambes fines et sexy, qui de part mon petit short en jean étaient apparente, j'en profitais pour attraper le dossier qu'il me tendait et y jeter alors un coup d'oeil approfondi. Quelques minutes plus tard à peine, je relevais ma tête vers lui et tout en plongeant mon regard dans le sien je lui lançais mon avis concernant le dossier. « Une affaire d'apparence simple, mais qui en réalité regorge de questions plus ou moins floues … Ce type est accusé de détournements de fonds, des preuves contre lui ont été rédigées et apriori tout semble l'accuser … facile alors pour l'accusation de nous mettre au tapis … sauf qu'un élément cloche dans l'histoire, si cet homme avait vraiment détourné une telle somme d'argent il n'aurait pas pu agir seul, cela demande plus qu'un simple cerveau humain aussi intelligent soit-il … ne pouvant pas l'innocenter pour autant, on peut malgré tout jouer sur le fait qu'il n'était pas seul dans cette histoire, il faut trouver ses complices et ainsi on pourra demander une peine moins importante … et avec une caution payée dans les délais, il pourra être en liberté surveillée jusqu'à la date du procès … » Fier de mon petit monologue je posais le dossier sous son nez et attrapait alors une sucette dans mon sac à main que je venais quelques secondes plus tard porter à ma bouche. M'amusant maintenant avec celle-ci, je le fixais toujours du regard, sans le quitter, le provocant ainsi sans devoir à prononcer un seul mot … ou presque. « Tu excuseras cette légère intrusion de cette sucette … mais je n'ai pas eu le temps de déjeuner ce midi et sans sucre je risquerai de tomber sous peu … tu ne voudrais tout de même pas à devoir me réanimer ici, sur le sol de ton bureau … il y a des choses plus intéressantes et excitantes que ça à faire dans un tel lieu … comme travailler sur une affaire si passionnante et déroutante … » Léger clin d'oeil lancé en sa direction, je tournais maintenant la sucette dans ma bouche, ne le lâchant toujours pas du regard.

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« A l’amour, à la vie. Au soleil et aux filles. Je veux lever mon verre, allez, viens voir mon frère. C’est pas que le paradis n’a pas tout pour nous plaire. Mais j’ai plus chaud en enfer, entouré de mes amis. »

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyDim 30 Oct 2011 - 19:14

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Enfin ! J'avais enfin réussi à marquer quelques points dans ce jeu. Quand j'ai déboutonné ma chemise, j'ai immédiatement senti son regard sur moi; j'ai levé les yeux quelques secondes et j'ai cru voir un sourire très timide. J'aurais pu me plier en deux mais dans le fond, c'était tellement mignon. Sans parler, elle avait presque admis que je ne la laissais pas indifférente. De mon côté, je n'ai jamais été réellement discret. Je crois qu'elle a deviné depuis longtemps. Mais le dire à voix haute, je ne pouvais me le permettre. Car il faut admettre que Sutton est très sûre d'elle et que la jolie demoiselle croit me maîtriser comme elle veut. Je le sais parce que je suis comme elle et que je l'ai toujours été.

« Woaw ! Tu m'épate. Tes remarques sont de plus en plus pertinentes. Je suis sérieux tu sais. Je crois qu'un de ces jours, je vais te laisser gérer un dossier toute seul. » En même temps, ça me ferait un dossier en moins. Je ne suis pas contre un peu de vacances, surtout à cette époque. J'avais oublié sa remarque d'avant, ne voulant pas jouer à longueur de temps. Trop de jeu tue le jeu; il faut savoir retourné dans la réalité de la vie, même si on a souvent envie de l'oublier. Sauf qu'elle en rajouta un coup et que ça devenait dur de ne rien dire. Je n'avais pas vu cette sucette qui venait d'arriver dans sa bouche. D'habitude, je n'aimais pas trop qu'on mange ce genre de trucs dans mon bureau; j'ai été un grand fan et une fois, j'ai fais tombé la sucette par terre. Je peux encore vous montrer la tâche, juste en dessous de mon bureau. Elle est tenace et a pris le dessus sur moi. Je n'allais pas non plus m'énerver pour une telle connerie. Bref, j'ai cherché Sutton des yeux et je l'ai rapidement trouvé. Je ne la lâchais pas, elle non plus. Intérieurement, je fondais. « Ne parle pas trop vite ma jolie. Mais je t'en prie, mange là. » C'est peut-être méchant, sur ce coup ... J'avais besoin d'être moi même au moins trois secondes. Je lui rends son petit clin d’œil.

J'ai laissé cinq minutes de silence dans le bureau, le temps de réfléchir aux dossiers. C'est juste à ce moment là que j'ai pensé à ce que Sutton avait dit, il y a au moins 15 minutes. Je me suis également rendu que j'avais pensé tout haut, chose qui m'arrive énormément ces temps-ci. Bref, j'étais intrigué par ces paroles. « Dommage ... Mais je ne vois pas pourquoi agir est synonyme de faiblesse. Ton raisonnement ... Va plus loin. » Un retard, trois ans après la guerre, comme on dit. Je m'arrêtais de fixer le bureau pour la regarder " de loin ". Et je souris, de plus belle. J'ai presque rit. Parce que je pense qu'agir est un bon moyen de prouver sa valeur. Pour un homme, c'est aussi montrer ses sentiments, à sa façon. D'un point de vue philosophique, si je suis avec une fille différente chaque soir, le sentiment de peur en ressort. Des trucs compliqué à la Voltaire ou encore Platon. Des trucs compliqués comme l'amour lui même ou les sentiments envers les autres. Je me suis levé et je lui ai fait signe de faire pareil. Elle n'a pas dit un mot depuis le début; je me suis dit que j'allais me faire comprendre et que j'allais jouer, une bonne fois. « Agir, par exemple, c'est montrer aux autres ce qu'on éprouve par rapport à eux. » Et je lui fis un câlin. Sur le coup, on aurait pu trouver cela bizarre. On va dire qu'on s'en fiche. En tous cas, le contact était chaleureux, il faisait tellement du bien. « Là, je te montre que je t'apprécie, malgré les apparences. » Je mis fin à notre étreinte. Ce fut facile d'être calme malgré la situation. J'avais emmener le jeu assez loin. Et si c'était moi qui craquait ? J'en mourrais d'envie et il devenait de plus en plus difficile de le cacher. C'est contre mes principes mais pour une fois, je pourrais faire un effort non ? Je fais la moral et pourtant, je ne suis pas mieux. Je suis un lâche, je ne suis pas un homme. Et je décide que là, tout de suite, je veux être un homme. « Si agir, c'est une faiblesse et même si pour être un homme, je me dois de ne pas être faible ... » Je n'appréciais pas spécialement d'être dans cet état là; je n'aimais pas être faible. Tiens ... Il revient souvent ce mot là. Faible : quelqu'un qui manque de solidité, de vigueur, de force, de valeur et plein d'autre. Je chipote et j'aime ça. C'est comme dans les bons films, avec pleins de suspens. Chiant, mais drôle. Et puis ça prouve que la fin nous réserve le meilleur. Le plus souvent en tous cas.

C'est fini, je ne peux plus. Je ne peux plus rien nier. Je me suis rapproché de Sutton, très dangereusement, comme on dit. Et je l'ai embrassé. Peu importe ce qu'elle a dit, je n'ai rien entendu. Ça faisait des mois que j'en avais envie, depuis que je l'ai prise comme stagiaire. Ce baiser a durer dix secondes, pas plus. On ne va jamais trop vite avec une fille, c'est une règle que j'ai apprise au fil des années. Quand je l'ai laissé, je n'ai pas su la regarder. Je ne pouvais pas. C'est comme si j'avais honte. Après le discours que j'avais osé dicté, j'avais honte. Sutton est le genre de fille à aimer les " bad boy ". Je ne dis pas que j'en suis un, mais je suis un peu le type. Mais là, j'avais perdu. « Je suis désolé. » M'excuser, c'était le pire. Qui suis-je ? Hunter Sasha Breymer a disparu, ce n'est pas possible autrement. N'importe quoi, c'était un vrai bordel. J'ai secoué la tête et je suis parti en direction de la chaise, presque en courant. Et j'ai fais genre je travaillais. Je ne voulais plus parler, plus rien faire. Ça pourrait me nuire, encore. Je crois que j'ai eu assez pour la journée.

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyDim 30 Oct 2011 - 22:43




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La partie était lancée, le jeu était maintenant en route et rien ne semblait pouvoir l'arrêter. Si d'habitude on se contentait de jouer avec les mots ou les regards aujourd'hui nos attitudes, nos gestes, se voulaient beaucoup plus significatifs et démonstratifs que d'habitude. La tension sexuelle qui grandissait peu à peu en chacun de nous laissait ainsi nos corps nous trahir. Lorsqu'il était venu à déboutonner quelques boutons de sa chemise, je ne peux nier le fait que mon regard s'était aussitôt dirigé vers cette partie de son corps, qui se voulait à ce moment là nue à mes yeux. Un torse comme je les amie, musclé et viril de quoi assouvir mes fantasmes. Il ne me laissait pas indifférente c'était certains et il serait difficile de dire le contraire, mais j'essayais malgré tout de rester maître de moi même, me contrôler pour ne pas à franchir une limite qui pourrait tout faire flancher. Car si certaine n'aurait pas hésité à passer sous le bureau dès l'entretien pour l'obtention du stage, de mon côté j'avais des valeurs tout à fait différentes qui me faisaient agir tout autrement pour mon plus grand plaisir. Je n'étais pas à ce point désespérée pour m'assouvir à un tel degrés d'humiliation en offrant mon corps contre plusieurs semaines de stages. Non loin de là, je l'avais obtenu parce que j'avais su me montrer persuasive et peut-être aussi parce que mon jeu de séduction avait fait son effet et ce dès notre première rencontre, après tout j'avais des atouts à mettre en avant, alors pourquoi ne pas m'en servir. Tout ça pour dire que même si ce n'était pas mon genre de coucher avec qui voudra, cela faisait maintenant plusieurs jours, semaines que mon attraction pour mon tuteur de stage, se voulait de plus en plus envahissante. Chaque jour un peu plus, je ressentais ce sentiment étrange et complexe, qui me poussait à le dévisageait, à m'imaginer être dans ses bras, dans son lit … tout ça allait trop loin et malheureusement aujourd'hui il semblait que les choses ne soient pas aussi maîtrisable qu'à mon habitude, car comme je vous l'ai avoué, une fois ces quelques boutons dégrafer, que mon corps tout entier était désireux d'en découvrir encore plus. Essayant malgré tout de rester concentrée sur mon but premier, à savoir apprendre à ses côtés les vices, les astuces et les gestes à adopter en tant que stagiaire en droit, je m'étais lancer dans une tirade sur un dossier qu'il venait quelques minutes plus tôt de me donner à étudier. Apriori ma réflexion c'était montrée pertinente puisqu'il ne cacha pas sa satisfaction quand à mon analyse, ce qui me fit sourire. Je lui prouvais ainsi là que je n'étais pas juste un physique, qu'en dehors de mon apparence il y avait aussi matière à s'attarder. Car il est vrai que pour beaucoup ma réussite scolaire, sociale n'est dû qu'à mon physique que les gens qualifient d'avantageux. Personnellement, je me trouve pas plus belle qu'une autre, enfin je veux dire que je suis une fille banale et que justement ce qui apporte peut-être le plus chez moi c'est ma manière d'aborder les choses, ma ruse, mon intelligence. C'est donc ainsi satisfaite de le voir approuver mes dires que je le remerciais d'un clin d'oeil appuyé, suivis de quelques mots brefs, mais directs. « Je suis allée à bonne école pour tout t'avouer … j'apprends tout de toi et il faut avouer que tu es plutôt un très bon pédagogue … » et voilà que je venais de le complimenter subtilement. Bien entendu je pensais mes mots, mais c'était aussi une bonne occasion de lui avouer ma reconnaissance, sans trop non plus lui dévoiler tout mon attrait à son égard. D'ailleurs en bon joueur qu'il était il reprit son sérieux et rester de marbre ou presque face à l'intrusion de ma sucette dans notre petit jeu. Moi qui pensait là marquer un nouveau point et ainsi prendre une longueur d'avance voilà que je m'étais trompée, peut-être l'avais-je surestimé, peut-être que j'avais mal interprété tous ses regards, mots et gestes ou peut-être pas. Puisque voilà que quelques minutes plus tard il semblait une nouvelle fois baisser sa garde. « Mon raisonnement m'est peut-être simplement personnel aussi, tu sais chaque individu à sa façon d'agir et d'interpréter les choses, pour moi agir s'est dévoiler bien plus que ce que l'on veut laisser paraître … c'est donc une forme de faiblesse à mes yeux … » A peine mes mots terminés qu'il me faisait signe de me lever, s'approchant alors de moi je le regardais l'air perdu, ne comprenant pas ce qu'il était entrain de se passer. Je fus d'autant plus déstabiliser lorsqu'il vint à me prendre dans ses bras et m'offrir alors un câlin chaleureux. Hein ? quoi ? pourquoi ça ? le regardant l'air ébahit, je l'écoutais à nouveau prendre la parole, sans savoir ce que je devais réellement penser ou faire à ce moment précis. Restant alors immobile et sans mots face à lui, je fus d'autant plus surprise lorsque soudain, il s'approcha de moi plus déterminé que jamais et vint alors à m'embrasser. Ne reculant pas face à ses avances, j'acceptais son baisé et je le prolongeais même en venant m'amuser avec sa langue. Il avait finalement craqué le premier à mon plus grand plaisir, quelques minutes plus tard cela aurait pu être moi qui aurait franchit le cap des simples mots pour venir à me jeter à ses lèvres. Nos lèvres réunies, j'avais ressentis en moi un frisson sur tout mon corps à la fois agréable et déstabilisant. Un mélange explosif, mais exquis que j'espérais pouvoir ressentir encore et encore. Notre étreinte terminée, nous restions sans mot l'un et l'autre. Ce baiser tant attendue venait de nous prouver que l'attirance que nous ressentions l'un pour l'autre était réciproque, dans ce baiser j'avais pu ressentir tout son désir, toute son attirance à mon égard et j'étais sur que de son côté il en était de même. Restant alors là debout, immobile, je le regardais se reculer et rejoindre son bureau avant de venir à l'entendre s'excuser de son geste. Restant chacun de notre côté quelques secondes, qui parurent une éternité, je pris finalement à mon tour les devants et sans hésiter je décidais de m'approcher de lui. Arrivant à sa hauteur, le voyant prêt à m'offrir de nouvelles excuse, je venais à poser un doigt sur ses lèvres. « Chuuuut, ne dis rien … j'en ai envie moi aussi … » Et encore le mot envie était faible, je mourrais de désir pour lui depuis le premier jour où j'avais croisé son regard, je fantasmais sur son sourire, son regard, ses mains son corps … il m'attirait bien plus que n'importe qui et voilà que maintenant qu'il avait enclenché la machine il espérait qu'on stoppe tout comme ça ? C'était bien mal me connaitre. Prenant alors place sur lui à califourchon, je m'approchais dangereusement de ses lèvres pour lui voler un premier baiser tendre mais passionné, pour par la suite m’attardais sur des baisers plus fougues et déchainés que les précédents. Laissant mon corps cette fois-ci prendre le dessus, je laissais mes mains parcourir son corps, d'abord dans ses cheveux, puis sur son torse, j'en profitais pour déboutonner les derniers boutons de sa chemise, ce qui me valut la surprise de découvrir quelques instants plus tard, son torse parfait qui venait à pimenter d'autant plus tout le désir que je pouvais ressentir à son égard. Continuant notre étreinte, j'oubliais tous mes principes, j'oubliais qu'il avait le pouvoir de mettre fin à mon stage quand bon lui semblait, je n'avais désormais plus qu'en tête mon désir de m'abandonner à lui. Restant malgré tout aussi joueuse qu'à mon habitude, j'en profitais entre deux baisers pour lui laisser entendre quelques mots amusés « Agir à parfois du bon aussi ... » et ce n'est pas lui qui m'en dira le contraire car plus l'action avancé, plus je sentais ses mains parcourir mon corps, qui frissonnait de désir à chacune de ses caresses.
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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyMar 1 Nov 2011 - 15:57

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Le jeu était terminé. En tous cas, aujourd'hui. Non, pour un long moment. C'était devenu sérieux, peut-être trop. Mais la situation n'était pas des plus déplaisante. De l'inattendu et de l'adrénaline à souhait. Je suis allé loin et Sutton me rejoint. C'est d'ailleurs pour ça que je restais assis, complètement ébahis. Je m'attendais plutôt à la douche froide de sa part; qu'elle me remette à ma place un bon coup et que le jeu continue encore quelques jours. Depuis le début, elle le gagne ce jeu. Mais en impliquant la fin de celui ci, je suis un peu comme le grand gagnant. Je ne savais plus. Fallait-il que je bouge ? Que je crie stop ? Que je fasse quelque chose ... Quelque chose d'intelligent. Et si c'était ça, être intelligent; se laisser aller, faire ce qu'on veut, etc. VIVRE! Sans que le reste compte, sans que les tracas de notre petite vie habituelle ne nous emmerde. Être soi sans être faux. La vérité et rien qu'elle. La folie et rien d'autre. Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, le pied. mieux que la drogue, l’héro, la dope, la coke, le crack, le joint, le shit, le pet', le cannabis, la beuh, LSD, l'extasy. Mieux que le sexe, le kama-sutra, les plans à trois. Mieux que les CDs de Led Zep', Deep Purple, ZZ Top et tous les grands classiques du rock. Mieux que toutes les filles du monde, même les plus sexy. Mieux que la liberté et que la vie elle-même. J'avais une des filles les plus belles de la ville devant moi et je suis complètement fou, déchaîner. J'en reviens pas moi même.

« Sutton ... » A peine ce nom prononcer, là voici à califourchon sur moi; j'avais imaginé un autre lieu mais quand on y réfléchi, ma chaise de bureau ... Bref, elle s'est mis à m'embrasser, lentement. Ce fut doux et le contact était d'une chaleur effrayante. J'aimais ça. C'est comme si elle utilisait sa façon de bouger, de me toucher, de m'embrasser pour me montrer qu'elle me connait mieux que moi-même. Ça devenait plus qu'une impression. Effrayant, ce fut le mot. C'est comme si j'étais avec elle depuis toujours. J'ai joué avec sa langue et c'est là qu'elle s'est mise à m'embrasser plus fort. Plus de sauvage, plus de tout, mon cœur battait rapidement. Trop rapidement. J'avais presque mal. On ne joue plus aux petits bisous d'un couple qui date, on joue sur l'attirance physique qu'on a l'un pour l'autre. Parce que ce n'est que ça, en fait. Je ne pense pas être amoureux d'elle et je ne pense pas qu'elle soit amoureuse de moi. « Quand je parle, ce n'est pas pour rien. » Un peu égocentrique mais basé sur de véritables faits. J'ai glissé cette phrase entre deux baisers, comme elle le fit il y a trois minutes à peine. Je mourrais de chaud, j'en devenais presque rouge. Ma chemise grande ouvertes, ses mains parcouraient tout mon torse. Le contact était électrisant. Par la suite, j'ai eu comme un grand moment de doutes. Je me connais et j'ai peur des réaction que je pourrais avoir par la suite. Je sais que le moindre geste qui me dérange de sa part, je pourrais la virer du stage. Ce serait injuste, vu son potentiel. Et je sais que sur le moment, je m'en foutrais; parce que la seule chose qui contera, c'est mon égo. Je ne suis qu'un homme après tout. C'est d'ailleurs pour cette unique raison que j'irai jusqu'au bout. Du moins, j'essaie de m'en convaincre.

Je n'ai pas prolonger les événements. J'ai enlevé son haut et je l'ai embrasser dans le coup. En revenant vers ses lèvres, c'est à nouveau reparti de plus belle. Je l'ai porté et l'ai mise sur mon bureau; le trois quarts de ce qui se trouvait dessus a trouvé sa place au niveau du sol. Du sexe à l'état brut, celui dont on rêve toute sa vie. La suite, je suis sûre que tout le monde la connait. Je la garde pour moi, elle la garde pour elle. Il est difficile de ne pas se l'imaginer. J'avais oublier de fermer la porte mais de toutes façons, peu osent rentrer comme ça dans mon bureau. Je n'aime pas raconter ma vie ... Ça donne un genre dépressif et ce n'est pas du tout le mien. Je me sentais bien, c'était un moment de pure chaleur, de pure magie, de pure folie. C'est comme quand je suis seul, chez moi; je lance un concert d'AC/DC à la télé et je commence à voyager dans les quatre coins de la pièce, passant d'instrument en instrument. Ce n'est pas une comparaison, je pense juste que l'un comme l'autre, c'est super bon. Et super drôle à regarder. Je parle bien sûr de ma performance d'air guitar. Jouer a perdu de son sens et j'ai peur qu'il disparaisse pour de bon. Je me demande ce qu'il se passera, lorsque tout cela sera fini. Je ne sais pas si je dois jouer au mec normal qui s'en fiche, son tuteur quoi. Est-ce que, tout bêtement, je dois l'embrasser quand elle partira. Des questions plus débiles les une que les autre défilent et je me les pose réellement. J'ai couché avec énormément de fille, je ne sais même pas si j'arriverai à les compter ... Bref, juste pour dire qu'aucune d'elles ne m'avaient fait autant d'effet. Je suis mort de trouille, ce sont des sentiments qui n'ont jamais été présent dans ma vie. J'ai peur et je ne veux plus avoir peur. Je voudrais que tout redevienne comme avant mais en mieux. Je veux arrêter de ressentir autant de chose à la fois. Je veux à nouveau voir ces gens et leurs yeux qui m'envient. STOP! Je ne sais plus, je ne veux plus. Mes histoires deviennent complètement folles. le dernier choix s'ouvre à moi; attendre les dires de la jolie brune et jouer en fonction. Pffff ... Je suis pathétique.

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MessageSujet: Re: HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law   HUNTER & SUNTON → he is a villain of the devil’s law EmptyJeu 3 Nov 2011 - 14:11




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Le jeu semblait avoir trouvé sa fin, puisque voilà que maintenant la situation se voulait la conséquence de nos actes précédents. Je me retrouvais finalement à califourchon sur cet homme mâture et viril que j'avais tant désiré. Nous ne faisions maintenant plus mine d'être attitrés l'un par l'autre, nous en avions maintenant la preuve. Ne pouvant se délecter de nos lèvres, les baisers s'enchainèrent encore et encore devenant de plus en plus fougueux et passionnés. Un véritable appel à la tentation s'était mis en route. Ne contrôlant plus mes gestes, mes mains parcouraient son corps de manière sensuels et appliquées. Le contact de nos corps, la chaleur de nos souffles faisaient de la situation un véritable supplice. Qui dans cette situation là aurait pu résister à la tentation d'aller encore plus loin ? Surement pas nous, puisque n'étant plus maîtres de nos corps, c'est rapidement que je le laissais prendre les choses en mains et sans pour autant quitter ses lèvres je me retrouvais rapidement dénudé de mon haut, puis finalement suspendu dans ses bras quelques secondes avant de terminé sur le bureau de mon tuteur de stage. A nous voir ainsi on aurait pu croire à une de ses scènes pornos où le fantasme en question est la soumission de la secrétaire à son patron et en conséquences ils finissent par faire "l'amour" ou plutôt "copuler" pour rester polît sur le bureau. C'est vrai qu'à nous voir là, on aurait pu nous qualifier de deux bêtes sauvages ne pouvant pas résister face à l'appel de leurs sens. La tentation était bien trop forte depuis ces derniers temps et à peine avait-il fait le premier pas en venant m'embrasser tout à l'heure, que quelques minutes à peine après je m'étais jetée sur lui, telle une affamé de sexe. Certes ce n'était pas totalement la réalité, je n'étais pas ce genre de filles à écarter les cuisses à tout va, pour pouvoir obtenir tout ce que je désire, non bien au contraire. D'ailleurs si j'aurais voulu, j'aurais très bien pu dès notre première rencontre le chauffer et ensuite passer à l'acte, mais je n'avais pas agit ainsi et j'avais simplement démontré que me prendre en tant que stagiaire serait une bonne opportunité pour lui. Oui mais voilà, le temps passe et le désir que j'avais eu à son égard n'avait cessé de grandir de jour en jour. Je m'étais pourtant répétée chaque jour de rester sage et de ne pas franchir cette limite et pourtant voilà que je me retrouvais maintenant sur son bureau prête à goûter au fruit défendu. Ne pouvant ainsi plus reculer, nos corps semblaient se connaitre depuis des années, depuis toujours, nos gestes s'accommodaient parfaitement à la situation ce qui était assez étrange. On agissait l'un comme l'autre comme si on se connaissait depuis toujours, comme si ce n'était pas la première fois qu'on allait coucher ensemble. Cette sensation était d'autant plus bizarre que toutes craintes et autres subtilités du genre s'étaient envolés dès le moment où j'avais goûté à ses lèvres. De fil en aiguilles alors, nos gestes se furent plus localisés, plus tendre mais aussi plus passionnés … là suite des choses se passera de détails bien entendu. Ce que je peux cependant vous dire c'est que ce fut d'autant plus agréable que je n'avais pu l'imaginer. Un mélange explosif de sentiments, de jouissance et de plaisir enfouis. Cet homme sait y faire avec les femmes c'est maintenant confirmé. Notre fantasme maintenant assouvis, je me retrouvais alors allongée sur lui, sur ce petit canapé présent dans la pièce et dont je n'avais pas eu connaissance avant aujourd'hui. Caressant du bout des doigts son torse, je me sentais soudain plus gênée et perdue que jamais. N'osant pas croiser son regard, je l'évitais autant que possible. Il restait de son côté silencieux, ce qui n'arrangeait pas les choses. Et si j'avais mal agis, si de part mon insouciance et ma naïveté, j'étais tombée dans son piège, et si de part notre relation charnelle je venais à perdre ce fameux stage si important pour moi. Comment allais-je me comporter désormais en sa présence, sans devoir à penser un instant à ce qui venait de se passer entre nous. Autant de questions sans réponses, qui venait à me troubler et à me faire regretter d'avoir couché avec Hunter S. Breymer. Après tout ce genre de relation n'était pas très catholique et si mes professeurs l'apprenaient de je ne sais quelles manières, ça en était finis pour moi. D'un autre côté j'étais majeure et vaccinée et je faisais ce que je voulais de mon corps alors pourquoi m'inquiéter ? parce désormais je ne pourrais plus jamais croiser son regard, sans penser un instant au goût de ses lèvres, à la douceur de ses baisers et à la puissance de son corps ? … Me redressant alors quittant le contact avec son corps, j'attrapais mes affaires posées un peu partout sur le sol de la pièce et tentait de me rhabiller toujours en silence et sans devoir à croiser son regard. Je me sentais maintenant honteuse face à la situation, je n'avais pourtant rien fait de mal, du moins en théorie. Une fois mon Top et mon petit short sur mon corps, je me levais de ce canapé et tout en avançant vers la fenêtre de son bureau où je vins à chercher du regard à l'extérieur une solution, je pensais tout haut. « On aurait peut-être du réfléchir davantage avant d'agir cette fois-ci … » Me retournant vers lui, je le regardais se redressait à son tour sur ce canapé et tout en attrapant son boxer sur le sol lui tendant je ne pus m'empêcher de jouer la carte de l'humour pour essayer de détendre la situation. « Si tu cherches ton boxer, le voilà … » m'avançant un peu plus de lui, je lui rendais son sous-vêtement avant de balayer la pièce du regard et un sourire aux lèvres j'enchainais à nouveau. « On peut dire qu'on s'est laissé aller, c'est le moins que l'on puisse dire … » Croisant son regard, je ne pus m'empêcher d'à nouveau rêver de lui sauter dessus. Il était si craquant, si séduisant que j'avais l'impression de l'avoir dans la peau. Une sensation étrange je dois l'avouer, comment pouvait-il avoir autant d'impact sur moi, alors que je ne ressentais aucun sentiment à son égard ? une attraction si puissante et incohérente qu'elle me faisait peur. Rassemblant alors finalement mes affaires dans mon sac, je préférais fuir la réalité plutôt que de devoir à l'affronter là maintenant, tout de suite. « Je ferais peut-être mieux de partir maintenant non ? … j'ai pris le dossier que tu voulais me confier pour l'étudier, pour que demain on puisse être productif d'une certaine manière … » Plongeant une dernière fois mon regard dans le sien, je pris par la suite la direction de la porte espérant qu'il ne vienne pas à me rattraper de peur de devoir à me retrouver face à lui à nouveau.
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